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La vidéoprotection urbaine

En complément des agents sur le terrain, Val Parisis a choisi la vidéoprotection pour la sécurité de sa population.

Equiper son territoire de ce système permet de protéger les bâtiments et les installations publiques, de surveiller leurs abords, de prévenir des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux particulièrement exposés à des risques d’agression, de dégradation ou de vol.

L’agglomération comptait 170 caméras en 2016. Depuis 2017, des caméras supplémentaires réparties sur tout le territoire ont été installées dans le cadre de la phase initiale de déploiement qui s’est achevée en 2021, signant la fin des caméras hertziennes. Certains sites ont également vu évoluer leurs caméras au profit de matériels plus récents et donc plus efficaces dans la lutte contre la délinquance.

En 2024, après les multiples opérations opérées, ce sont 531 caméras fibrées qui filment en permanence l’espace public du territoire intercommunal.

Une cinquantaine de caméras nomades réparties sur l’ensemble du territoire sont raccordées au réseau d’éclairage public de l’agglomération en utilisant cette source d’énergie la nuit et en fonctionnant sur batterie le jour, permettant de manière assez souple et rapide de mettre en place un dispositif ponctue de sécurisation d’une zone précise.

Centre de surveillance urbaine

La vidéoprotection est un outil complémentaire aux missions des policiers municipaux et nationaux, elle permet d'intervenir plus rapidement et d'améliorer la gestion des incidents de tous types.

Les caméras seront réparties sur des sites déterminés au préalable avec les acteurs de la sécurité : aux abords des gares, des établissements scolaires et des commerces, dans les centres-villes et les quartiers dits « sensibles ».

L'ensemble des caméras des 15 communes sont visionnées depuis un unique Centre de Supervision Urbain (CSU) situé à Franconville.

En chiffres, au 1er janvier 2024 :